Le c½ur est le roi du corps
Louange à Allah, que Sa grandeur soit exaltée ; nous Le louons, nous Lui implorons secours, nous Lui demandons pardon et nous demandons Sa protection, que Sa grandeur soit exaltée, contre les maux de nos âmes et les maux de nos actes. Celui qu'Allah (que Sa grandeur soit exaltée) guide, rien ne peut l'égarer ; et celui qu'Il égare, rien ne peut le guider, et j'atteste qu'il n'y a pas de divinité à part Allah (unique, sans associé) et j'atteste que Mohammed est Son serviteur et Son Messager...
La valeur du serviteur d'Allah dépend de son c½ur, non de son corps.
La valeur de l'homme chez Allah, varie selon le c½ur de celui-ci, non selon son corps, c'est pour cela qu'Abraham le bien-aimé d'Allah, a imploré son Seigneur que sa grandeur soit exaltée par des prières, à travers lesquelles on comprend que tout dépend de la droiture du c½ur. Ainsi il dit: « ... Et ne me couvre pas d'ignominie, le jour où l'on sera ressuscité, le jour où ni les biens, ni les enfants ne seront d'aucune utilité, sauf celui qui vient à Allah avec un c½ur sain.» (Sourate Achou'araâ, versets 87- 89).
Le c½ur est donc roi, par rapport aux autres membres du corps.
Le roi et ses sujets
Si le roi est bon, ses sujets le seront également ; s'il ne l'est pas, ses sujets ne le seront aussi.
C'est dans ce sens que le prophète que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur lui, dit ; Les membres avertissent la langue en lui disant : «Ô langue ! Crains Allah tant que nous dépendons de toi ! Si tu restes sur la bonne voie; nous le resterons, mais si tu en dévies, nous dévierons aussi. ».
« Vois-tu si Nous leur permettions de jouir des années durant, et qu'ensuite leur arrive ce dont on les menaçait, en quoi leur serviront alors les jouissances qu'on leur a permises? »
Abu-lâaliy Al Qochayri Mohammad Ibn Said Al Harrani, a rapporté dans «L'histoire de la Raqqah », dans la biographie de Maymoun Ibn Mihran qui était le scripteur d'Omar Ibn AbdelAziz qu'Allah soit satisfait de lui, que Maymoun Ibn Mihran avait ressenti une certaine dureté dans son c½ur, il était devenu âgé à cette époque.
Il dit à son fils Amr : « Mon fils, prends ma main et rendons-nous chez Al Hassan. »
Amr dit : « J'ai pris alors mon père par la main et je le conduis chez Al Hassan Al Basri. Nous rencontrâmes ensuite un ruisseau que mon vieux père n'a pu traverser. Je m'inclinai en me mettent en travers comme un pont, et il passa sur mon dos. Puis nous continuâmes notre chemin. Lorsque nous arrivâmes à la maison d'Al Hassan et que nous frappâmes à la porte, la servante sortit et demanda :
«-Qui est-ce ? »
« -Maymoun IbnMihran, » dit mon père.
«-Malheureux vieil homme! dit-elle .Qu'est ce qui vous attardé jusqu'à cette vilaine époque? »
Louange à Allah, que Sa grandeur soit exaltée ; nous Le louons, nous Lui implorons secours, nous Lui demandons pardon et nous demandons Sa protection, que Sa grandeur soit exaltée, contre les maux de nos âmes et les maux de nos actes. Celui qu'Allah (que Sa grandeur soit exaltée) guide, rien ne peut l'égarer ; et celui qu'Il égare, rien ne peut le guider, et j'atteste qu'il n'y a pas de divinité à part Allah (unique, sans associé) et j'atteste que Mohammed est Son serviteur et Son Messager...
La valeur du serviteur d'Allah dépend de son c½ur, non de son corps.
La valeur de l'homme chez Allah, varie selon le c½ur de celui-ci, non selon son corps, c'est pour cela qu'Abraham le bien-aimé d'Allah, a imploré son Seigneur que sa grandeur soit exaltée par des prières, à travers lesquelles on comprend que tout dépend de la droiture du c½ur. Ainsi il dit: « ... Et ne me couvre pas d'ignominie, le jour où l'on sera ressuscité, le jour où ni les biens, ni les enfants ne seront d'aucune utilité, sauf celui qui vient à Allah avec un c½ur sain.» (Sourate Achou'araâ, versets 87- 89).
Le c½ur est donc roi, par rapport aux autres membres du corps.
Le roi et ses sujets
Si le roi est bon, ses sujets le seront également ; s'il ne l'est pas, ses sujets ne le seront aussi.
C'est dans ce sens que le prophète que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur lui, dit ; Les membres avertissent la langue en lui disant : «Ô langue ! Crains Allah tant que nous dépendons de toi ! Si tu restes sur la bonne voie; nous le resterons, mais si tu en dévies, nous dévierons aussi. ».
« Vois-tu si Nous leur permettions de jouir des années durant, et qu'ensuite leur arrive ce dont on les menaçait, en quoi leur serviront alors les jouissances qu'on leur a permises? »
Abu-lâaliy Al Qochayri Mohammad Ibn Said Al Harrani, a rapporté dans «L'histoire de la Raqqah », dans la biographie de Maymoun Ibn Mihran qui était le scripteur d'Omar Ibn AbdelAziz qu'Allah soit satisfait de lui, que Maymoun Ibn Mihran avait ressenti une certaine dureté dans son c½ur, il était devenu âgé à cette époque.
Il dit à son fils Amr : « Mon fils, prends ma main et rendons-nous chez Al Hassan. »
Amr dit : « J'ai pris alors mon père par la main et je le conduis chez Al Hassan Al Basri. Nous rencontrâmes ensuite un ruisseau que mon vieux père n'a pu traverser. Je m'inclinai en me mettent en travers comme un pont, et il passa sur mon dos. Puis nous continuâmes notre chemin. Lorsque nous arrivâmes à la maison d'Al Hassan et que nous frappâmes à la porte, la servante sortit et demanda :
«-Qui est-ce ? »
« -Maymoun IbnMihran, » dit mon père.
«-Malheureux vieil homme! dit-elle .Qu'est ce qui vous attardé jusqu'à cette vilaine époque? »
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